Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Temps de lecture : 2 minutes
Une nouvelle ère d’incertitude a commencé ce mardi 31 août en Afghanistan, suite à la fin du retrait des dernières forces américaines. Un retrait qui vient confirmer la victoire des talibans après deux décennies de guerre. Les Afghans craignent désormais que leurs nouveaux leaders ne leur imposent à nouveau leur dure interprétation de la loi islamique, en punissant brutalement leurs opposants et en privant les femmes de leurs droits comme l’avaient fait leurs prédécesseurs entre 1996 à 2001.
Cependant,bien quede nombreux citoyens,en particulier ceux résidant dans les zones rurales, sont soulagés par la fin de la guerre, le pays reste confronté à d’énormes défis économiques, politiques et sécuritaires. Depuis leur retour au pouvoir le 15 août dernier, les talibans ont avancé plusieurs promesses, mais ont donné peu de détails sur la politique qu’ils envisagent d’entreprendre. Leur porte-parole, Zabihullah Mujahid, a déclaré qu’ils seraient plus souples qu’auparavant, qu’ils offriraient une amnistie générale à leurs opposants et qu’ils permettraient aux femmes de travailler dans certains secteurs et de recevoir une éducation, bien que dans des classes séparées. Ils ont également annoncé que les médias et la presse pourront reprendre leur travail normalement.
De plus, les talibans ont exprimé le désir d’être un membre reconnu de la communauté internationale et ont assuré que l’Afghanistan ne sera pas utilisé par des groupes extrémistes comme une base de terrorisme. Une promesse qui était au cœur de l’accord de retrait des troupes américaines. Les rebelles ont soutenu qu’ils souhaitent former un gouvernement « inclusif », et que des pourparlers sont en cours pour le mettre en place. Jusqu’à présent, ils se sont entretenus avec d’anciens rivaux de l’opposition, tels que l’ex-président Hamid Karzai et les anciens de la vallée du Panjshir, dominée par l’ethnie tadjike. Ils ont envoyé aussi des représentants auprès de la communauté ethnique hazara, qui est principalement chiite. Lors de leur dernière gouvernance, les talibans avaient massacré des milliers deHazaras.
Temps de lecture : 2 minutes
Espagne : Pedro Sánchez veut démissionner alors que son épouse est sous enquêtePedro Sánchez a pris une décision radicale : il doit faire une pause pour réfléchir à son avenir politique. «J'ai besoin de m'arrêter et de … |
Un Marocain à la tête de la mission de l’OMS au SoudanLe bureau régional de l'organisation mondiale de la santé pour le Moyen-Orient, a annoncé la nomination du marocain Shible Sahbani au poste … |
Gaza : le chef d’état-major israélien approuve la continuation des opérations militairesEn dépit de l'indignation internationale croissante contre la continuation des offensives sur Gaza, le chef d'état-major israélien, Herzi Ha… |
Kendji Girac grièvement blessé par balleLe célèbre chanteur français Kendji Girac a été gravement blessé par balle lundi et a été admis à l'hôpital de Bordeaux, dans le sud-ouest d… |
Explosions dans le centre de l’Iran : les réactions du monde entierPlusieurs explosions ont été signalées tôt vendredi dans le centre de l'Iran, de hauts responsables américains cités par la presse faisant é… |
Le G20 veut taxer les ultra-riches250 milliards de dollars. C’est le montant que pourrait rapporter cette taxe mondiale que le G20 veut appliquer. Le gouvernement brésilien, … |
Elon Musk annonce des frais d’inscription pour les nouveaux utilisateurs de XElon Musk, le propriétaire de X (anciennement Twitter), a annoncé lundi soir que les nouveaux utilisateurs de la plateforme devront payer de… |
Libye : Abdoulaye Bathily démissionne de son poste d’émissaire de l’ONUAbdoulaye Bathily, l'émissaire des Nations unies pour la Libye, a annoncé sa démission mardi, exprimant son désarroi face à l'impossibilité … |